La
déportation
Combien étaient-ils tremblants de peur, de froid, assoiffés,
affamés, entassés comme des animaux dans ces wagons qui
traversaient l’Europe pour finir sur la rampe d’Auschwitz
? Juin 1944, Georges a 14 ans ; serré contre « wilma » sa mère, et « Ilona » sa grand mère, il est dans un de ces wagons. A Auschwitz, seul survivant de sa famille, il va découvrir l’impensable: l’horreur, les coups, l’inhumanité, la faim au creux de l’estomac, la dysenterie incontrôlable, mais il va survivre. Transféré à Dora, il vivra l’enfer dans les souterrains où sont fabriqués les V1 et les V2 qui s’abattent sur Londres. La fin du voyage sera Bergen Belsen, à la limite de ses forces, dans le coma, et ce seront les Anglais qui vont sauver le souffle de vie qui l’anime encore. En 1978, devant l’entrée du camp d’Auschwitz, Daniel, Johannes et Mathias, ses trois enfants sont là pour clamer à la face du monde : « Plus jamais ça » Découvrez le récit de Georges Kadar |
![]() « Wilma» Georges et « Ilona » |
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![]() Georges Kadar témoigne devant une classe de troisième , il est entouré d’André Conty, Lucien Lemarchand et Bernard Chabardès, président de la Section |
Pages 2007 : la Résistance|
les Engagés Volontaires
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