|
Ecouter Georges c'est se laisser submerger par une avalanche de sentiments très divers.
Même si l'on pense tout savoir sur les pages tragiques de la déportation, même si l'on est certain d'avoir vu tout ce qu'il y avait à voir sur le sujet, on est vite dépassé par le récit, par la voix, par le regard , par la volonté qui se dégage de cet homme, par la conviction qu'il veut faire partager.
Les quarante adolescents de classes de troisième qui l'ont écouté en silence garderont son message humain comme un précieux moment de privilège.
|
|