Une innovation en 2007 :
Le 8 mai, la cérémonie traditionnelle s’est terminée par la projection d’une vidéo.
COMBIEN ETAIENT-ILS ?
Trois thèmes ont été illustrés avec des clichés d’époque : La Résistance, les engagés volontaires, la Déportation

La Résistance


Combien étaient-ils ceux qui refusèrent la débâcle, la honte ? Sans uniforme, sans armes, mais avec au cœur une volonté sans faille : 10.000 à 150.000 peu importe le chiffre exact
Lucien, Pierre, Raymond étaient de ceux là ; en 1944 ils ont de 18 à 20 ans
Pour le premier, ce sera l’école buissonnière, le 2 mai il fait le mur pour rejoindre le maquis de l’Ain, et désormais s’appeler « OX »
Pour le second, dans le Périgord, il rejoint le groupe « As de trèfle » et on le surnommera « Pitchounet »
Le troisième, jeune batelier, abandonnera sa péniche et répondra au surnom de « Samson » en souvenir du bateau paternel
Leurs copains sont aussi rebaptisés, ils répondent au nom de « La volige, Rapace, Boby, La rafle
Ils vont apprendre à se battre, à souffrir ; de ferme en grange, à travers bois et colline ils vont détruire, saboter, harceler,
désorganiser l’envahisseur nazi ; par dizaines, par centaines, ils vont être débusqués, torturés, fusillés, mais partout ils clameront haut et fort la grandeur de la France, la volonté d’être libres.
Aujourd’hui, avec nous, ils se souviennent.

Leurs brochures : Lucien Lemarchand, Pierre Gauthier, Raymond Broquet


Un groupe de combat

Stèle du Val d'Enfer (Ain)

Sabotage de voies ferrées


L’assaut de la Milice contre une ferme

Pages 2007 : | les Engagés Volontaires | la Déportation

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